Seymaz
Dédié aux oiseaux d’une petite rivière suisse appelée Seymaz, ce livre est le résultat de plus de 3 ans de travail.
Préface de Pierrine Poget. Poème de Thomas Prevedello.
Format 30 x 24 cm. 144 pages. Papier Arctic Paper Munken Lynx 150g.
Imprimé par Simon Graphic en 1000 exemplaires.
Extrait : “La Seymaz passe au bout de mon jardin. Chaque jour je suis captivé par sa beauté singulière. Pas besoin d'aller au bout du monde pour voir des merveilles. Tout est déjà là.
Si l'on passe en courant le long de la Seymaz, les yeux par terre, on ne verra pas grand chose, c'est vrai, croyant probablement qu'il ne s'y passe rien. S’asseoir à ses côtés pour une heure ou deux, et c'est un monde qui se révèle à vous. Il suffit de regarder. Il suffit d'ouvrir les yeux et de se donner le temps pour commencer à voir.”
Dédié aux oiseaux d’une petite rivière suisse appelée Seymaz, ce livre est le résultat de plus de 3 ans de travail.
Préface de Pierrine Poget. Poème de Thomas Prevedello.
Format 30 x 24 cm. 144 pages. Papier Arctic Paper Munken Lynx 150g.
Imprimé par Simon Graphic en 1000 exemplaires.
Extrait : “La Seymaz passe au bout de mon jardin. Chaque jour je suis captivé par sa beauté singulière. Pas besoin d'aller au bout du monde pour voir des merveilles. Tout est déjà là.
Si l'on passe en courant le long de la Seymaz, les yeux par terre, on ne verra pas grand chose, c'est vrai, croyant probablement qu'il ne s'y passe rien. S’asseoir à ses côtés pour une heure ou deux, et c'est un monde qui se révèle à vous. Il suffit de regarder. Il suffit d'ouvrir les yeux et de se donner le temps pour commencer à voir.”
Dédié aux oiseaux d’une petite rivière suisse appelée Seymaz, ce livre est le résultat de plus de 3 ans de travail.
Préface de Pierrine Poget. Poème de Thomas Prevedello.
Format 30 x 24 cm. 144 pages. Papier Arctic Paper Munken Lynx 150g.
Imprimé par Simon Graphic en 1000 exemplaires.
Extrait : “La Seymaz passe au bout de mon jardin. Chaque jour je suis captivé par sa beauté singulière. Pas besoin d'aller au bout du monde pour voir des merveilles. Tout est déjà là.
Si l'on passe en courant le long de la Seymaz, les yeux par terre, on ne verra pas grand chose, c'est vrai, croyant probablement qu'il ne s'y passe rien. S’asseoir à ses côtés pour une heure ou deux, et c'est un monde qui se révèle à vous. Il suffit de regarder. Il suffit d'ouvrir les yeux et de se donner le temps pour commencer à voir.”